0 commentaires mardi 31 juillet 2007

À lire, vraiment intéressant:

Le Canadian dream a la cote chez les Américains (Le Soleil)

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En Corée du Nord, le dernier pays staliniste au monde, des milliers, voir des centaines de milliers de personnes seraient emprisonnés dans des sortes de camp de concentration tenus par le gouvernement mégalomane de Kim Jong-Il. Évidemment, la communauté internationale devrait agir, mais comment? La question devrait se poser.

CPDH/ aujourd'huilacoree.com/AFP:

aleloo.com:


Shin Dong-Hyok, né et élevé dans un camp de prisonniers politiques de Corée du Nord, ôte son costume rayé, se tourne, et relève sa chemise, dévoilant les cicatrices qui couvrent son dos. « Je les ai eues à cause de la tentative d'évasion de ma famille», explique d'une voix douce ce jeune homme de 24 ans.
Shin Dong-Hyok dit avoir alors été battu et torturé dans une chambre souterraine, avant d'être contraint, à assister à l'exécution publique de sa mère.

"Ils m'ont pendu au plafond, les pieds liés, et ils ont allumé un feu sous mon dos". Témoignage exceptionnel d'un rescapé des camps nord-coréens.

Shin, dont le majeur de la main droite a été coupé au niveau de la première articulation par les gardes du camp "pour ne pas avoir travaillé correctement", retrousse ensuite son pantalon jusqu'aux genoux. Les cicatrices sur ses tibias sont là pour rappeler à jamais le souvenir de son évasion du Camp 14 à Gaechon, dans la province de Pyongahn Sud, le 2 janvier 2005. Les fils de fer électrifiés lui ont brûlé les jambes. Un de ses amis a été moins heureux. Il est resté accroché à la clôture, électrocuté, alors que tous deux rêvaient de toucher enfin à la liberté.

Shin, qui a gagné la Corée du Sud en passant par la Chine, s'exprimait mardi en marge de la publication à Londres d'un rapport de l'organisation non gouvernementale Christian Solidarity Worldwide (CSW). L'ONG accuse la Corée du Nord d'être coupable de "crimes contre l'humanité" et appelle les Nations unies à ouvrir une enquête sur les violations des droits de l'homme dans ce pays.

Le rapport, écrit par des experts en droit international, s'étend longuement sur la situation dans les camps de prisonniers, où CSW estime que quelque 200.000 personnes sont retenues. Quelques-unes, comme Shin, n'ont pas connu d'autre vie, et sont emprisonnées et forcées à travailler entre 16 et 18 heures par jour, pour répondre aux crimes qu'auraient commis leurs parents, voire leurs grands-parents.

Agrippant nerveusement le micro, il raconte comment son existence est devenue encore plus pénible quand sa mère et son frère ont été arrêtés alors qu'ils tentaient de s'évader en 1996. Il dit avoir alors été battu et torturé dans une chambre souterraine, avant d'être contraint, aux côtés de son père, à assister à leur exécution publique. En tant que fils d'une "traite", il fut obligé de travailler plus encore, les autres prisonniers se détournant de lui. L'expérience n'a pas altéré sa détermination, quand avec un nouveau détenu, "venu de l'extérieur", ils ont commencé à échafauder les plans de leur évasion. L'opportunité de fuir s'est présentée alors qu'ils travaillaient dans les champs. "Les fils barbelés étaient à une vingtaine de mètres de nous. Nous courrions vers eux. Mon ami était à peu près un mètre devant (...). Il a été pris dans les fils de fer et a été électrocuté", décrit-il.

A ses côtés se tient Ahn Myeong-Cheol, un ancien garde dans quatre différents camps et rare témoin des pratiques des lieux. "Une fois que vous êtes envoyé dans la zone de contrôle absolu, vous ne pouvez plus espérer être libéré et vous devez passer le reste de votre vie là", dit cet homme de 38 ans.

Ahn revient aussi sur les discriminations dont sont victimes notamment les chrétiens, considérés comme des malades mentaux. Il se souvient d'une vieille femme, qui avait été battue dans le Camp 22, à Hoeryeong City, dans la province de Hankyeong Nord. Un garde, auquel il avait demandé ce qu'il lui était arrivé, avait rétorqué: "C'est une folle. Elle croit encore en Dieu". "Tout le monde sait que vous êtes seulement censés croire en Kim Jong-Il et (son père défunt) Kim Il-Sung", rapporte-t-il. "Aussi longtemps que Kim Jong-Il sera en vie, le système des camps de concentration continuera", assure-t-il.

0 commentaires dimanche 15 juillet 2007

Le 11 juillet dernier, un sondage Environics révélait que les Montréalais estimait que le meilleur chef au poste de premier ministre du Canada était Jack Layton avec 24%. Stephen Harper était deuxième avec 19%, Duceppe 16% et Dion 12%. Heureusement, le Nouveau parti démocratique ne récolte qu'à peine 17% des intentions de votes dans tout le Canada. Sûrement à cause de sa forte opposition à la guerre en Afghanistan, cette guerre qui fait tant de mécontents partout au Canada.


Parcontre, une arrivée au pouvoir de Jack Layton serait une véritable menace pour tout le pays. Avec l'arrivée du NPD au pouvoir, le Canada serait renfermé sur lui-même pendant des années, en dehors de l'OTAN, de NORAD, du Commonwealth et bien d'autres, en plus de quitter l'Afghanistan soudainement avec l'engagement que nous avons pris avec d'autres pays.

Mais ce n'est pas tout!

Le parti aurait plusieurs idées saugrenues dont celle de remplacer le jour du souvenir par la journée officielle des transexuels! (Calgary Sun, 10 sept, 2006.) Vous n'êtes pas au bout de vos surprises pourtant... Comme tout bon pays communistes qui se respectent, avec Jack Layton au pouvoir, le pétrole albertain serait nationalisé, tout comme plusieurs chaînes de télévisions ainsi que plusieurs banques! (Calgary Sun, 10 sept, 2006.) Ça nous coûterait énormément cher!

De plus...

Le camarade moustachu et ses joyeux lurons déréglementerait l'âge de la retraite minimale pour tout citoyens du pays! Avec le vieillissement de la population, j'aime mieux pas trop m'imaginer!

Conclusion...

Avec les camarades néo-démocrates au pouvoir, non seulement le Canada serait une risée à travers le monde, mais nous aurions remplacé le clone à Bush par le clone à Castro!

23 commentaires jeudi 12 juillet 2007

Dans notre pays, au Canada, nous sommes le seul pays à n'avoir absolument aucune loi sur la pratique de l'avortement. Pas surprenant non plus qu'au Québec, nous sommes dans le 3ème rang au monde sur le nombre d'avortements par grossesses. Eh oui, pour 100 naissances, il y a 42,6 avortement. N'est-ce pas alarmant comme chiffre? Venez pas me dire que ce sont tous des accidents ou des viols, quand même! Pourtant, cela ne fait pas si longtemps que l'avortement est décriminalisé au Canada. Seulement depuis 1988.


Personnellement, je suis définitivement contre l'avortement sous toute ses formes. Pourquoi? Tout simplement parce que personne, PERSONNE, n'a le droit de vie ou de mort sur un autre être humain, quel que soit l'âge de ce dernier. C'est une VIE, pareil comme nous tous! De plus, il existe plusieurs moyens de rechange à l'avortement.

Si une mère se sent vraiment incapable d'élever un enfant, l'adoption peut vraiment être une solution. Certains diront que c'est difficile pour une personne de donner son enfant en adoption, mais est-ce moins difficile de le faire mourir au lieu de savoir qu'il pourrait être à un endroit dans une famille où il est bien? Tant de couples aimeraient tant avoir des enfants mais ne sont pas capables, ils aimeraient bien en adopter et en prendre soin.

Encore une fois, tous ces avortements ne sont certainement pas tous le résultat d'un moyen de contraception qui n'a pas fonctionné (ils sont presque tous sûr à plus de 90%) ou de viols! Un large sondage vient d'être diffusé au Canada, encore 33% des gens hésitent encore à prendre des moyens de contraceptions! Tout cela est une histoire de conscience, d'honnêteté, envers un petit être sans défense qui mérite de vivre pareil comme tout le monde! Pour les cas de viols, quand même que la femme se fait avorter, cela ne lui fera pas oublier en rien son viol, contrairement à ce que plusieurs insinuent.

De plus, certains disent que nous ne pouvont pas obliger une femme à être enceinte, si elle ne le désire pas. Mais qu'est-ce que neuf mois contre toute la vie qu'elle passera à s'en vouloir d'avoir tué un être vivant?

0 commentaires mercredi 11 juillet 2007

Scandaleux! En Chine, des millions de nouveaux-nés sont tués chaque année en raison du surpeuplement du pays. Certaines personnes du pays se révoltent contre cette loi ignoble. Mais comme c'est un pays communiste, les détracteurs du gouvernement sont traqués, attaqués et kidnappés, ça en vient une habitude... Demain, j'écrirai un article pour dire les raisons à mon opposition à cette pratique immorale, dans tout les pays, y compris le Canada.

Dans Gènéthique:


Un avocat aveugle, Cheng Guangcheng, a été condamné en août 2006 à une peine de 4 ans et 3 mois de prison pour avoir dénoncé la politique de stérilisation forcée dans la province du Shandong, à l'est de la Chine. Sa femme, assignée à résidence dans son village et cloîtrée dans son appartement, dénonce les violences qu'il subit.

C'est en 2005 que Cheng Guangcheng a commencé son combat. Lorsque les autorités de la province de Shandong ont lancé leur campagne de stérilisations forcées pour réaliser les quotas de naissance imposés par Pékin, cet avocat de 35 ans s'est empressé de mobiliser les associations des droits de l'homme et les médias. "Il savait ce qu'il risquait, explique sa femme, mais, dans notre ville, il y avait jusqu'à 100 avortements par jour, il fallait faire vite pour arrêter cela".

Lors de son procès en août 2006, certains de ses témoins ont été kidnappés. Depuis ses avocats ont été tabassés et les pétitions internationales sont restées sans réponse. Pour l'un de ses amis, "l'enjeu est immense pour les autorités. La politique de l'enfant unique fait des millions de mécontents en Chine. Si jamais ces gens-là commencent à se révolter, c'est la fin de l'harmonie sociale", ajoute-t-il.

3 commentaires vendredi 6 juillet 2007


Hier, le 5 juillet 2007, six de nos valeureux soldats canadiens présents en Afghanistan sont morts sous les bombes envoyés par leurs ennemis, les talibans. À cela, plusieurs personnes en profiteront encore une fois pour se faire du capital politique sur ce sujet et dire que nous devons quitter l'Afghanistan, dont nos valeureux Jack Layton et Stéphane Dion (d'ailleurs il ne faudrait pas oublier que c'est son bon Parti libéral qui a envoyé nos troupes là-bas...).

Moi, même à cela, je continue de dire que nous devons rester en Afghanistan tant et aussi longtemps que la menace talibane dans le pays se fera sentir et que la police afghane ne sera pas en mesure de prendre en charge les menaces terroristes du pays, même si nous devons y rester au-delà de 2009 si il le faut.

Il faut éliminer la menace terroriste à sa base, et non pas attendre qu'elle vienne nous attaquer ici, sur notre propre territoire. J'entend déjà du monde dire: «Oui, mais c'est de la faute aux Américains, ils ont juste à se mêler de leurs affaires.»... ça je l'ai dont entendu! Oui mais ce qui est fait est fait et nous ne pouvons pas retourner en arrière. Il ne faut pas que l'on reste ici à attendre à rien faire et que ses terroristes viennent ici poser des bombes au cas où ça nous coûterait trop cher d'aller en Afghanistan.

Où bien non nous entendons quelques illuminés de Québec solidaire, dont le camarade Khadir, avec tout son anti-américanisme crasse, dire que les attentats du 11 septembre ne sont qu'un pur complot orchestré par George W. Bush pour pouvoir se servir de cette raison pour attaquer l'Afghanistan et y servir ses intérêts personnels, donc nous avons rien à faire là-bas... Franchement, vous en arrivez quasiment à me faire mourir de rire! Ben Laden a revendiqué l'attentat, des terroristes ont été arrêtés, maintenant, inventez autre chose de beaucoup plus crédible s'il vous plaît...

Je ne suis pas seulement pour la mission en Afghanistan pour le fait d'arrêter des terroristes, mais aussi pour l'occasion que cela donne de reconstruire l'Afghanistan. Avant 2001, les talibans ont détruits l'Afghanistan sans pitiés pendant des années. N'importe ce que les hippies de la gaugauche en diront, la situation est bien meilleure en 2007 qu'en 2001.